Comme nous le rappellent les sages paroles de Thomas Fuller : « Toutes choses sont difficiles avant d'être faciles ». Ce sentiment résonne à travers le temps et résonne profondément avec les événements récents qui se sont déroulés au cœur du Liban.
Le 23 août, des individus se présentant comme membres du groupe militant « Jnoud El-Rab », également connu sous le nom de Soldats chrétiens de Dieu, ont lancé une attaque angoissante contre Madame Om, un havre d'acceptation LGBTQ+ dans le quartier animé de Mar. Mikhaël à Beyrouth.
Des incidents comme celui-ci s’ajoutent aux craintes existantes auxquelles les personnes LGBTQ+ sont souvent confrontées. Soudain, les endroits qui devraient se sentir en sécurité, comme les clubs, les rues et même les maisons, deviennent des lieux de malaise. Les conséquences de l'incident du Liban ont uni la communauté dans des discussions sur les mesures de sécurité à long terme. Malgré cette unité, un besoin urgent de conseils de la part des responsables est apparu. L’escalade du discours anti-LGBTQ+ au Liban souligne l’importance cruciale du soutien et de la solidarité face à l’adversité.
Maintenant, vous pourriez penser que c'est un monde loin de notre vie quotidienne, mais c'est un rappel important que le voyage vers l'acceptation n'a pas encore commencé dans certaines régions du monde, même en 2023. Lire sur cet incident depuis un endroit comme le Canada , où les droits LGBTQ+ sont respectés, c’était un écho amer de l’histoire. À la fin des années 70, le Canada a également été aux prises avec ses propres raids anti-queer, mettant en lumière les luttes systémiques contre lesquelles nous nous sommes battus.
N'oublions pas que les défis jettent les bases du changement. Il est essentiel que nous soyons unis et résilients. Et avec une lueur d'espoir, considérez que les raids de 1977 ont poussé les autorités canadiennes à défendre les droits LGBTQ+, ouvrant la voie au premier défilé de la Fierté en 1981. Je souhaite sincèrement que tous les pays du monde empruntent une voie similaire.